Règle de vie n° 3 nos erreurs ne sont pas des fautes
Nos échecs nous en apprennent autant sinon plus que nos succès. Pourtant la plupart des gens supportent mal l’échec. Cela compromet leur évolution. Il vaudrait mieux le voir comme une nouvelle occasion d’apprendre. Thomas Edison disait qu’il avait appris 1001 façons de ne pas allumer une lampe…
Règle N° 3
Si vous avez une existence mouvementée, vous pouvez apprendre de vos erreurs, ce ne sont pas des fautes. Elles sont là pour vous faire progresser. Il faudra maîtriser quelques leçons essentielles :
La compassion
Pour parvenir à la compassion, il faut ouvrir son coeur. Cela permet d’appréhender votre nature essentielle. Vous passez dans ce domaine du domaine rationnel au domaine émotionnel. C’est la seule façon de se mettre à la place de la personne sur laquelle vous portez un jugement et de comprendre son point de vue.
Le pardon
Pour passer de la compassion au pardon, il faut ouvrir son coeur davantage pour évacuer la rancune accumulée. Quatre types de pardon ( manquement véniel de soi ou autrui, manquement grave de soi ou autrui ) donnent lieu à l’expression de la compassion pour passer à autre chose.
L’éthique
On pourrait la définir comme « traitez les autres comme vous aimeriez qu’ils vous traitent ». Lorsque vos actes sont en conformité avec vos valeurs et avec la morale, vous êtes en paix avec vous-mêmes. C’est l’intégrité.
Le sens de l’humour
La leçon de l’humour saupoudre de légèreté et de distance des situations qui seraient insupportables autrement. Rire ensemble dénoue bien des conflits. Le rire chasse les souffrances et nous apprend à ne pas nous prendre au sérieux. Et dites-vous que vous faîtes de votre mieux.
Ce que j’en pense :
Cette règle est à la fois facile à comprendre et difficile à appliquer pour moi . Toucher à l’émotionnel est difficile , je suis vite vulnérable sur l’affectif. Je peux ressentir de la compassion et pardonner dans des situations pas très graves. J’avoue que lors de manquement grave, j’ai vraiment du mal, surtout lorsque j’ai donné ma confiance à quelqu’un.
Et vous, culpabilisez-vous ou bien êtes-vous facilement dans la compassion ? et le pardon ?